Wednesday, February 3, 2010

Maria Chapdelaine 3

#1 Dans ces chapitres de Maria Chapdelaine, il y a une comparaison intéressante de culture canadienne à la culture française et la culture américaine. Il y a les Américains, représentés par Lorenzo Surprenant. Il peint tout à fait un tableau des trottoirs pavés par Les États-Unis, des cinémas, des voitures électriques grandes, nouvelles inventions pour rendre les convenances modernes plus accessibles. Ceci m'a beaucoup frappé parce que nous parlions du même concept dans mon cours de sociologie la semaine dernière-comment l'Amérique est prise dans le consommationisme, ayant de plus en plus les convenances modernes, et que la vie serait plus facile. Nous pouvons vivre maintenant avec la facilité avec des articles comme des Blackberries et Iphones et des micro-ondes qui faisent tout notre travail pour nous. On peut aller à leur poste dans les jeans et une veste, ou même travaille chez lui. Les gens ont des conférences téléphoniques dans leurs pyjamas et poussoirs de maison. Comme une société, nous sommes de moins en moins concernís avec la communauté et de plus en plus concernés avec l'individualisme. Nous nous inquiétons de avoir nos gadgets et voitures et un bon nombre d'argent et une grande maisons, mais pas nos rapports les uns avec les autres. Ceci semble être l'une des grandes différences entre notre société et celle de Canada où, quoiqu'il soit difficile, les familles font de grands efforts et voyage de grandes distances à aller amasser ou rendre visite à un ami.

C’est intéressant aussi voir la comparaison aux Français. On penserait qu'ils seraient un peu semblables puisque les Canadiens étaient les citoyens français ou les immigres français, ou au moins leurs ancêtres étaient. Mais les Français sont dépeints comme personnes de raffinage et les Canadiens beaucoup plus simples. Leurs mots sont plus raffinés (naturellement ils seraient, grâce à l'académie française). Ils ont eu des carrières réelles en France en tant qu'un accordeur de pianos et employés. Ils sont eduqué tandis que les Canadiens ne peuvent pas lire ou écrire. Mais, quand ils sont demandé pourquoi ils sont venus des Français ils ne pouvaient pas répondre. Peut-être parce qu'ils ont pensé ils auraient une meilleure vie, mais leur éducation et mots raffiné ne peuvent pas les aider et n'atteignent aucun objectif contre l’hiver canadien dur. Il y a trois pays très différents avec trois ensembles de valeurs très différents ici.


#2 Je suis un peu étonnant parce que Maria n'est pas aussi répandue comme personnage que j'ai pensé qu'elle serait dans le livre, d'autant plus qu'elle a son nom au titre. Je trouve que le livre est plus au sujet de la vie canadienne en général et moins au sujet de Maria et ses choix personnelles et ses conflits intérieurs. Elle semble être la fille que le curé la décrit- obéissant à ses parents; elle semble très passive, tranquille, et gentille. Pourtant je pense qu'il est intéressant, bien que compréhensible, qu'elle choisirait Lorenzo au lieu d'Eutrope. Les dernières pages du chapitre la décrivent comme elle voulait aller aussi loin du Canada que possible puisque c'était les conditions canadiennes dures qui ont tué François. C’est compréhensible, mais Maria est-elle approprié à cette vie moderne aux États-Unis ? Sa nature passive et esprit doux semblent à peine comme le socialite d'élite technologiquement avancé du genre américain. La seule chose que je questionne est les noms des personnages…. Lorenzo est ‘Surprenant’, et c’est surprenant que Maria va le marier parce qu'il est venu de et il vit une vie si différente aux Etats-Unis. Cependant, le surnom d’Eutrope est Gagnon, qui implique peut-être qu'il va gagner ......

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